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Hellfest 2013, le report.

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Alors que l’on entend à droite et à gauche que se déroule le Hellfest, on y était, comme chaque année, pour revoir les groupes qu’on aime et en découvrir d’autres. Le Hellfest est maintenant fini, faisons le point sur cette édition 2013. Et oui, désolé pour le peu d’images, un petit souci d’appareil photo perdu fait qu’on a quasiment rien à montrerComme l’année dernière ? Oui, presque, sauf que cette fois, on a vraiment rien à part une photo d’un boeuf qui grille à la broche prise avec mon Blackberry…

Au global, attendons les chiffres mais cette année, le Hellfest semble continuer à grossir. Modérément, certes, mais après un vendredi très calme, où on circulaient assez facilement, le samedi avoir mobilisé plus de monde que jamais. De 18h à 01h, il était quasiment impossible de circuler d’une scène principale à l’autre, et très difficile de sortir du public, très dense pour peu que l’on soit à moins de 150 mètres d’une scène.

Au niveau musique, on avait du lourd, rien à redire. Des scènes principales avec des légendes qui se défendaient plutôt bien (Helloween, ZZ Top, Kiss), un concert de DOWN avec un Phil Anselmo en forme. La nouveauté de l’année était aussi la Warzone qui s’est un peu émancipé, reculée par rapport aux autres scènes et en plein air désormais, pour contenir la foule devant Sick of it All, Converge, ou, bien sûr NOFX. NOFX qu’on a pas vu à notre grand dam.

Oui au Hellfest maintenant on doit faire des choix pas forcément simples si on est un tant soit peu éclectique. Je m’explique : la densité du public étant tellement forte + le site qui est vraiment énorme, on ne peut pas aller simplement et rapidement (c’est à dire en moins de 20 min) d’un concert à l’autre. Je me souviens les éditions précédentes où il était possible d’aller voir 30 minutes d’un groupe, et 30 minutes d’un autre, le seul compromis possible au fait d’avoir 2 groupes qu’on aime et qui joue au même créneau, maintenant, ce n’est plus possible. Bon, on ne va pas se plaindre, c’est la rançon du succès, mais c’est un fait : si le nombre de têtes d’affiches est chaque année plus important, la qualité de vie et d’écoute du festivalier se détériore petit à petit.

Mais, comme d’hab, de bonnes rencontres, de bons concerts, et plein à manger. Pour revoir tout ça :

Les photos officielles

L’Instagram officiel

• Et bien sûr, la couverture des concerts par Arte, le visionnage est gratuit et de très bonne qualité (tous les concerts ne sont pas encore en ligne)

Peut être même qu’un jour, on vous filera notre plan pour une place de parking et un camping tranquille pas loin de l’entrée.

 

 


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Enguerran a aidé Pierre à lancer Jack 3.5mm et y contribue régulièrement, en publiant des chroniques d'albums, du test de matos et gère toute la machinerie du site. A côté de ça, il est designer et développeur web indépendant.

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